Regards posés sur les visages du fantastique

Photographe

Anthony Cools

Anthony Cools adopte la photographie presque par hasard, par curiosité. Vivant entre la Meuse et les Vosges, il explore sa région mais aussi le Luxembourg, l’Allemagne et la Belgique. Adolescent, il forge ses goûts autour de l’esthétique de la musique metal, tandis qu’il dévore les romans de Stephen King. Son premier appareil numérique en main, il aborde son travail comme une quête, une chasse, où il faut être à l’affût des trésors du quotidien, des pépites oubliées. Ses œuvres transmettent une ambiance, une note de musique qui plane sur des lieux où le visiteur n’est jamais vraiment seul.

Sculptrice

Michèle Giraudo

C’est en 2017 que Michèle Giraudo découvre sa technique de prédilection : le papier mâché. Alliant son éthique écologique et sa créativité, elle change drastiquement de cap artistique et crée sa propre matière première en récupérant les journaux de ses voisins. La nature est sa principale source d’inspiration. Sa seconde : les contes de Beatrix Potter et le roman de Kenneth Grahame Le Vent dans les saules. Imaginez le tout dans un film de Tim Burton : l’ensemble donne vie à un univers fantasmagorique.

Plasticien

Édouard Heyraud

Mixant les différents supports, aussi bien la peinture que la sculpture, Édouard Heyraud présente pour la première fois son Bionic Art Concept en 2002, univers qu’il va créer sous le pseudo Vizz. Il le peuple de créatures fantasques, torturées, mi-vivantes, mi-machines, issues d’un monde hostile et proche d’un futur dystopique, dans lequel subsiste une certaine poésie. En 2003, il s’oriente vers le design produit à l’ESAA de Troyes. Les expositions vont se succéder et l’artiste reçoit différents prix et reconnaissances lors de salons d’art. Par la suite, il est amené à concevoir des décors aussi bien pour le cinéma, la télévision que l‘évènementiel.

Plasticien

Hervé Mayon

Hervé Mayon fonde Les Ateliers de la Licorne Verte à partir d’une idée simple et ambitieuse : celle de recréer la vie végétale. Il élabore ses propres techniques, forge son savoir-faire, invente sa tradition. Le travail débute en forêt, à repérer les arbres qui n’intéressent pas l’industrie, ceux dont les troncs sont trop sinueux, les branches trop tortueuses ; ceux-là mêmes qui enchantent le regard. Les Ateliers de la Licorne Verte sont aujourd’hui sollicités par les artistes plasticiens, les chorégraphes et les architectes, pour des collaborations des plus stimulantes.

Dessinateur

Lucas Rubben

Autodidacte, Lucas Rubben dessine depuis son enfance. S’il commence par le crayon à papier, il s’initie également à l’encre, à la peinture, aux couleurs, à la bande dessinée et plus récemment au numérique. Après, une licence en Histoire de l’Art, il aspire aujourd’hui à vivre de son talent en tant qu’illustrateur, graphiste, infographiste ou dessinateur.

Graphiste

Gabriel Sturtzer

Gabriel Sturtzer, Textears006 de son nom d’artiste, ressent l’envie de créer depuis la classe de 5e. Fortement influencé par le Hip Hop, il commence par le graffiti, puis se tourne vers la conception graphique et le domaine de l’imprimerie. Ayant grandi dans un environnement où le numérique tenait une place importante, et admirateur des textures qui façonnent le monde, il cherche aujourd’hui à s’exprimer grâce aux logiciels de photographie et de musique.

Photographe

Gaëtan  Sturtzer

Très tôt bercé par la musique, c’est dans cet univers que Gaëtan Sturtzer découvre l’art. À l’âge de 12 ans il intègre le Conservatoire de musique national de Strasbourg en tant que flûtiste. Plus tard, il débute la guitare et s’oriente vers la guitare classique. Puis, la majorité passée, il découvre l’art de la photographie. Attiré par la technique requise et la manière de transmettre les émotions, il s’initie à cette pratique. Il aime explorer les ambiances particulières du quotidien et transformer la couleur des choses qui l’entourent notamment la nature, son terrain de jeu favori.